Aucun résumé des modifications |
Aucun résumé des modifications |
||
Ligne 2 : | Ligne 2 : | ||
L’Animus est une ressource qui permet aux Initiés de se soigner instantanément. Il est extrêmement précieux car il permet de guérir les plaies, les fractures, les maladies. | L’Animus est une ressource qui permet aux Initiés de se soigner instantanément. Il est extrêmement précieux car il permet de guérir les plaies, les fractures, les maladies. | ||
==Origines== | ==Origines et prélèvement== | ||
L’Animus est considéré pour beaucoup, et probablement à juste titre, comme l’âme. Toute créature vivante en possède en plus ou moins grande quantité. Lorsqu’une créature meurt, son Animus s’échappe petit à petit et par conséquent se décompose. Plus on tarde à en prélever et moins il en reste. | |||
Les petites créatures de la taille d’un rongeur ou plus petite ne contiennent pas assez d’Animus pour être prélevé. De même que les végétaux peu importe leur taille (exception faite des grandes plantes carnivores capables d’engloutir un humain). | |||
Pour prélever de l’Animus sur une créature, celle-ci doit être morte et de préférence depuis peu de temps. L’Initié appose alors ses mains sur la dépouille pour rassembler l’âme dans les organes principaux : le cœur, le foie, les poumons, la rate | |||
==Utilisation et partage== | ==Utilisation et partage== | ||
Lorsque l’Animus a déjà été prélevé, celui-ci peut-être consommé rapidement par un Initié (quelques secondes tout au plus). Pour cela, l’Initié doit entré en contact physique avec l’objet qui en contient. Une fois l’Animus complètement absorbé de l’objet, celui-ci se décompose à vue d’œil pour finir en cendre. | |||
Un Initié peut partager volontairement son propre Animus pour aider un autre Initié. Le premier donne donc un peu de son essence vital pour sauver le deuxième. C’est un acte qui peut sauver un allié dans un combat mal engagé. Pour cela, l’Initié doit entrer en contact physique avec le corps de celui qu’il veut sauver. Le partage d’Animus est plus long (quelques minutes), car le corps résiste instinctivement et refuse de laisser l’Animus s’échapper. | |||
Un joueur d’un Initié qui a partagé son Animus enlève des Points de Vie de sa fiche de personnage et en donne à son allié (sans aucune perte). Un joueur peut transmettre le nombre de Points de Vie qu’il désire, toutefois, il ne peut pas tout donner à moins que son personnage ait un grand sens du sacrifice. | |||
==Recoller un membre== | ==Recoller un membre== | ||
Ligne 15 : | Ligne 25 : | ||
==Point de vue des Profanes== | ==Point de vue des Profanes== | ||
L’extraction et l’utilisation d’Animus sont généralement | L’extraction et l’utilisation d’Animus ne sont généralement pas très bien vues par les Profanes. En prélever sur un corps humain est systématiquement condamné par les sociétés (notamment les Protectorats) qui assimilent l’acte comme du cannibalisme. |
Version du 10 mai 2024 à 15:03
Définition
L’Animus est une ressource qui permet aux Initiés de se soigner instantanément. Il est extrêmement précieux car il permet de guérir les plaies, les fractures, les maladies.
Origines et prélèvement
L’Animus est considéré pour beaucoup, et probablement à juste titre, comme l’âme. Toute créature vivante en possède en plus ou moins grande quantité. Lorsqu’une créature meurt, son Animus s’échappe petit à petit et par conséquent se décompose. Plus on tarde à en prélever et moins il en reste.
Les petites créatures de la taille d’un rongeur ou plus petite ne contiennent pas assez d’Animus pour être prélevé. De même que les végétaux peu importe leur taille (exception faite des grandes plantes carnivores capables d’engloutir un humain).
Pour prélever de l’Animus sur une créature, celle-ci doit être morte et de préférence depuis peu de temps. L’Initié appose alors ses mains sur la dépouille pour rassembler l’âme dans les organes principaux : le cœur, le foie, les poumons, la rate
Utilisation et partage
Lorsque l’Animus a déjà été prélevé, celui-ci peut-être consommé rapidement par un Initié (quelques secondes tout au plus). Pour cela, l’Initié doit entré en contact physique avec l’objet qui en contient. Une fois l’Animus complètement absorbé de l’objet, celui-ci se décompose à vue d’œil pour finir en cendre.
Un Initié peut partager volontairement son propre Animus pour aider un autre Initié. Le premier donne donc un peu de son essence vital pour sauver le deuxième. C’est un acte qui peut sauver un allié dans un combat mal engagé. Pour cela, l’Initié doit entrer en contact physique avec le corps de celui qu’il veut sauver. Le partage d’Animus est plus long (quelques minutes), car le corps résiste instinctivement et refuse de laisser l’Animus s’échapper.
Un joueur d’un Initié qui a partagé son Animus enlève des Points de Vie de sa fiche de personnage et en donne à son allié (sans aucune perte). Un joueur peut transmettre le nombre de Points de Vie qu’il désire, toutefois, il ne peut pas tout donner à moins que son personnage ait un grand sens du sacrifice.
Recoller un membre
L’Animus ne permet pas de faire repousser des membres sectionnés. Néanmoins il est possible de recoller un membre frais ou bien conservé (celui de l’Initié ou d’une origine diverse). Ce nouveau membre est malheureusement temporaire, car il finira par pourrir et devenir une gêne. Plus le greffon a de liens avec le greffé (même famille, même espèce) et plus il durera longtemps.
Ainsi, se faire recoller son membre sectionné aussi vite que possible pourrait lui donner une "espérance de vie" de quelques semaines.
Alors que greffer un membre d’un monstre tentaculaire pourrait ne tenir que quelques minutes.
Utilisation de l’Animus sur un Profane
Contrairement aux Initiés, l’organisme des Profanes rejettent violemment l’Animus étranger. En transmettre régulièrement à un Profane risque de le rendre malade voire de le tuer.
Point de vue des Profanes
L’extraction et l’utilisation d’Animus ne sont généralement pas très bien vues par les Profanes. En prélever sur un corps humain est systématiquement condamné par les sociétés (notamment les Protectorats) qui assimilent l’acte comme du cannibalisme.